Un écrivain alcoolique se remémore les folles soirées organisées par un mystérieux et séduisant nabab.

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Nick Carraway (Baz Luhrmann nous convie à la fête dans cette folle période des années 20 aux Etats-Unis en réalisant des scènes festives agrémentées de musique totalement anachroniques qui produisent un effet assez saisissant. Et c'est là sa plus grande force. Le reste paraît plus fade, moins fou. L'impression de traverser les mêmes décors trop souvent, au volant d'un bolide, le cœur soulevé par une 3D encore une fois abusive, donne au final le tournis, au point que le spectateur ait l'impression de se prendre, en même temps, une bonne cuite ainsi qu'une sacrée gueule de bois...